De novembre 2025 à juin 2026, la compagnie Légendes Urbaines imagine une récréation hors les murs de son spectacle Champs du Signe, écrit et mis en scène par Sylvain Fontimpe, autour du langage, de la communication et du lien social.

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Cette compagnie complice est une habituée des projets de territoires et avec les jeunes. Ses spectacles, toujours à la frontière entre théâtre, musique, et enquêtes de terrain, sont à la fois pleins de vie et de poésie. 

Au coeur de la résidence : 6 classes de 4e du collège Jean Rostand, qui assistent aux répétitions, voient plusieurs spectacles de la compagnie et préparent leur propre création.

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Et elles ne seront pas seules au plateau ! Cette année, les élèves embarquent leurs parents et les publics de plusieurs structures locales : personnes migrantes réfugiées via le Lab Fraternel, personnes en situation de handicap via le Foyer La Roselière, etc.

 

Ateliers partagés et répétitions communes leur permettront de travailler ensemble régulièrement pour imaginer un spectacle partagé, inclusif et intergénérationnel

Ateliers de pratique artistique : écriture, musique, pratique théâtrale, création d’éléments scénographiques

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Parcours du spectateur 

• Manque de Tendresse, Cie Légendes Urbaines - spectacle « in situ » joué à la salle des fêtes de Bray-sur-Seine (attenante au collège Jean Rostand)

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• Champs du Signe - en Territoire(s), Cie Légendes Urbaines - spectacle « in situ » joué à la salle des fêtes de Bray-sur-Seine (attenante au collège Jean Rostand) - spectacle aboutissement du projet

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Découverte des métiers de la culture (metteur en scène, auteur, comédien, technicien lumière et son) via des temps de rencontre et échanges avec les artistes et techniciens de la résidence autour de leurs métiers

(Dé)Tournées emmène le théâtre hors de ses murs, le temps de faire un pas de côté, pour aller là où il n’est pas attendu, là où il est important de raconter des histoires au plus près des publics. Et ouvrir ensuite tous les possibles...

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​​De la salle de classe à la médiathèque, du musée à l'association, chaque lieu devient une scène potentielle et tandis que la proximité avec les spectateur.trice.s crée un lien direct avec les artistes, les spectacles proposés empruntent les chemins de traverse de la fiction pour "déplacer" les regards que l'on porte sur le monde.